Edition du lundi 1er novembre
Environnement. Quatre opérations autour des Grands Causses.
Redécouvrir le parc
« Un Parc ne peut vivre que s’il est porté par son milieu, ses habitants et ses élus. Le Parc naturel régional des Grands Causses souhaite aujourd’hui, après presque dix ans d’existence, mieux faire connaître son rôle et ses réalisations. Situé dans une zone à forte identité offrant une richesse patrimoniale exceptionnelle, le Parc doit aussi jouer un rôle moteur en matière de sensibilisation et d’information de la population locale sur les thèmes majeurs de sa politique en faveur de l’environnement et pour le respect du patrimoine et de l’identité culturelle des Grands Causses.»Les objectifs de l’opération «Vivre dans le parc» sont :
> Mieux connaître le Parc naturel régional des Grands Causses et ses actions.
> Prendre conscience des richesses naturelles, culturelles et patrimoniales du territoire du Parc.
> Sensibiliser à la fragilité des espèces et des milieux.
> Participer à la préservation d’un bien commun.
> Et pour le parc mieux connaître les attentes de la population et sa perception du territoire.
Cette opération s’adresse à tous les habitants du Parc naturel régional des Grands Causses, elle comporte différentes actions en direction des scolaires et de la population locale.
Première opération : Concours « Si le Parc m’était conté»
Un concours est proposé aux scolaires de l’enseignement privé ou public du territoire du Parc pour les trois niveaux suivants : les écoles primaires (classes de cycle 3, CE2 à CM2, ou classe unique) ; les collèges (de la 6e à la 3e et les classes spécialisées) ; les lycées (de la seconde à la terminale) et lycées professionnels et/ou agricoles (pour les classes de BEP/CAP et Bac pro.). A partir d’un travail mené par l’équipe enseignante dont l’objectif principal est de faire prendre conscience aux élèves qu’ils habitent un territoire exceptionnel avec un paysage particulier, celui du Parc naturel, le but du concours est de rédiger un texte sous forme d’un article de presse accompagné d’une illustration (dessin, photo,…).
Pour les écoles primaires. Le texte envoyé peut prendre la forme d’un conte, poème, histoire ou écrits restituant un travail effectué par la classe. Il peut présenter ou faire référence à des plantes ou des animaux vivant sur le territoire du Parc, tels que : orchidées, chêne, buis, amélanchier, genévrier, plantes aromatiques, pins … ou encore castor, outarde, vautour, oedicnème, crave à bec rouge, aigle royal, chauve-souris … Le sujet du texte peut également se rapporter au patrimoine bâti du Parc (abris rocheux, calcaire, tuf ou travertin, cazelle, pigeonnier, architecture traditionnelle des maisons caussenardes, lavogne, jasse, lavoir, etc…), à l’eau sous toutes ses formes ou encore à l’économie locale (filière ovine, gastronomie locale, culture en terrasses, artisanat et savoir-faire, mégisserie, ganterie, ...).Le texte peut aussi faire part des propres représentations qu’ont les élèves du Parc « J’habite dans le Parc naturel régional des Grands Causses, qu’est-ce que cela représente pour moi ? ». L’enseignant doit adresser un seul texte par classe.
Pour les collèges et lycées. Ce travail est l’occasion pour les élèves d’aborder leurs programmes scolaires d’une autre manière, pouvoir étudier à partir de ce qui les entoure aussi bien la géographie, l’éducation civique, les sciences de la vie et de la terre que la pratique du français dans la préparation et la rédaction d’un article presse. Les classes du secondaire (collèges et lycées) peuvent travailler sur différents thèmes, au choix des enseignants, dans le cadre des programmes scolaires : l’eau (gestion des milieux aquatiques, source, rivière
souterraine, …) ; le paysage et la géologie (Rougiers, Avant Causses, Grands Causses, milieux naturels, …) ; l’agriculture (pastoralisme, filière ovine, production locale, culture et élevage,…) ; le petit patrimoine bâti (jasse, cazelle, lavoir, puits, fontaine, abris rocheux, tuf et calcaire, pigeonnier, …) ; la faune et la flore (espèces remarquables protégées ou non du territoire du Parc)
L’idée principale est de faire connaître par exemple un animal caractéristique du Parc comme l’oedicnème criard, le bouldras ou encore le castor, une plante remarquable, un paysage typique du milieu caussenard, un bâti traditionnel, une source ou un ruisseau, une personne cultivant la terre ou une production agricole du territoire. Il s’agit de faire ouvrir les yeux au plus grand nombre sur ce qui nous entoure, mieux connaître notre riche patrimoine pour mieux le préserver. L’article peut être rédigé, soit par l’ensemble de la classe, soit par un élève ou un groupe d’élèves dans le cadre des itinéraires de découvertes .pour les collèges ou des travaux personnels encadrés pour les lycées.
> Dans notre édition de demain, les 3 autres opérations : journée découverte, livret, concours grand public.
Cérémonies. Hommage aux anciens combattants.
Aider le Souvenir français
En cette année 2004, l’attention des Français a été catalysée sur le débarquement de Normandie en particulier. L’ampleur de cette bataille ne manque pas de susciter l’admiration, de retenir les faits d’armes, mais bien évidemment le prix à payer a été considérable et des tombes sont là pour rappeler ces nombreux sacrifices. Le 1er novembre, les cimetières se parent de nombreuses fleurs, témoignage de l’attachement que chacun porte à ses disparus.C’est aussi le jour du reccueillement à la mémoire de ceux qui sont morts pour la France.
triple mission
Le Souvenir français s’est donné une triple mission : conserver la mémoire de ceux qui sont morts pour la France ; veiller et participer à l’entretien de leurs tombes ; transmettre le devoir de mémoire aux générations successives. Cette année, en Aveyron, le Souvenir français a participé pécunièrement à un voyage scolaire de cent élèves de 3e.Ils ont visité le centre historique de la Résistance et de la Déportation de Lyon, la maison d’Izieu ainsi que les camps de Struthof et de Mathausen.
Chaque année, en partenariat avec d’autres associations d’anciens combattants, le Souvenir français rappelle dans de nombreuses écoles l’oeuvre des Résistants, leurs souffrances, leurs sacrifices et parfois leur déportation dans les camps d’extermination. Les tombres des carrés militaires sont régulièrement entretenues et les stèles éparses font l’objet d’une attention aussi soutenue que possible de la part du Souvenir français.
Afin de nous permettre de continuer nos missions, vous trouverez aux portes des cimetières de Millau des bénévoles pour recueillir votre participation, soyez généreux.»
Redécouvrir le parc
« Un Parc ne peut vivre que s’il est porté par son milieu, ses habitants et ses élus. Le Parc naturel régional des Grands Causses souhaite aujourd’hui, après presque dix ans d’existence, mieux faire connaître son rôle et ses réalisations. Situé dans une zone à forte identité offrant une richesse patrimoniale exceptionnelle, le Parc doit aussi jouer un rôle moteur en matière de sensibilisation et d’information de la population locale sur les thèmes majeurs de sa politique en faveur de l’environnement et pour le respect du patrimoine et de l’identité culturelle des Grands Causses.»Les objectifs de l’opération «Vivre dans le parc» sont :
> Mieux connaître le Parc naturel régional des Grands Causses et ses actions.
> Prendre conscience des richesses naturelles, culturelles et patrimoniales du territoire du Parc.
> Sensibiliser à la fragilité des espèces et des milieux.
> Participer à la préservation d’un bien commun.
> Et pour le parc mieux connaître les attentes de la population et sa perception du territoire.
Cette opération s’adresse à tous les habitants du Parc naturel régional des Grands Causses, elle comporte différentes actions en direction des scolaires et de la population locale.
Première opération : Concours « Si le Parc m’était conté»
Un concours est proposé aux scolaires de l’enseignement privé ou public du territoire du Parc pour les trois niveaux suivants : les écoles primaires (classes de cycle 3, CE2 à CM2, ou classe unique) ; les collèges (de la 6e à la 3e et les classes spécialisées) ; les lycées (de la seconde à la terminale) et lycées professionnels et/ou agricoles (pour les classes de BEP/CAP et Bac pro.). A partir d’un travail mené par l’équipe enseignante dont l’objectif principal est de faire prendre conscience aux élèves qu’ils habitent un territoire exceptionnel avec un paysage particulier, celui du Parc naturel, le but du concours est de rédiger un texte sous forme d’un article de presse accompagné d’une illustration (dessin, photo,…).
Pour les écoles primaires. Le texte envoyé peut prendre la forme d’un conte, poème, histoire ou écrits restituant un travail effectué par la classe. Il peut présenter ou faire référence à des plantes ou des animaux vivant sur le territoire du Parc, tels que : orchidées, chêne, buis, amélanchier, genévrier, plantes aromatiques, pins … ou encore castor, outarde, vautour, oedicnème, crave à bec rouge, aigle royal, chauve-souris … Le sujet du texte peut également se rapporter au patrimoine bâti du Parc (abris rocheux, calcaire, tuf ou travertin, cazelle, pigeonnier, architecture traditionnelle des maisons caussenardes, lavogne, jasse, lavoir, etc…), à l’eau sous toutes ses formes ou encore à l’économie locale (filière ovine, gastronomie locale, culture en terrasses, artisanat et savoir-faire, mégisserie, ganterie, ...).Le texte peut aussi faire part des propres représentations qu’ont les élèves du Parc « J’habite dans le Parc naturel régional des Grands Causses, qu’est-ce que cela représente pour moi ? ». L’enseignant doit adresser un seul texte par classe.
Pour les collèges et lycées. Ce travail est l’occasion pour les élèves d’aborder leurs programmes scolaires d’une autre manière, pouvoir étudier à partir de ce qui les entoure aussi bien la géographie, l’éducation civique, les sciences de la vie et de la terre que la pratique du français dans la préparation et la rédaction d’un article presse. Les classes du secondaire (collèges et lycées) peuvent travailler sur différents thèmes, au choix des enseignants, dans le cadre des programmes scolaires : l’eau (gestion des milieux aquatiques, source, rivière
souterraine, …) ; le paysage et la géologie (Rougiers, Avant Causses, Grands Causses, milieux naturels, …) ; l’agriculture (pastoralisme, filière ovine, production locale, culture et élevage,…) ; le petit patrimoine bâti (jasse, cazelle, lavoir, puits, fontaine, abris rocheux, tuf et calcaire, pigeonnier, …) ; la faune et la flore (espèces remarquables protégées ou non du territoire du Parc)
L’idée principale est de faire connaître par exemple un animal caractéristique du Parc comme l’oedicnème criard, le bouldras ou encore le castor, une plante remarquable, un paysage typique du milieu caussenard, un bâti traditionnel, une source ou un ruisseau, une personne cultivant la terre ou une production agricole du territoire. Il s’agit de faire ouvrir les yeux au plus grand nombre sur ce qui nous entoure, mieux connaître notre riche patrimoine pour mieux le préserver. L’article peut être rédigé, soit par l’ensemble de la classe, soit par un élève ou un groupe d’élèves dans le cadre des itinéraires de découvertes .pour les collèges ou des travaux personnels encadrés pour les lycées.
> Dans notre édition de demain, les 3 autres opérations : journée découverte, livret, concours grand public.
Cérémonies. Hommage aux anciens combattants.
Aider le Souvenir français
En cette année 2004, l’attention des Français a été catalysée sur le débarquement de Normandie en particulier. L’ampleur de cette bataille ne manque pas de susciter l’admiration, de retenir les faits d’armes, mais bien évidemment le prix à payer a été considérable et des tombes sont là pour rappeler ces nombreux sacrifices. Le 1er novembre, les cimetières se parent de nombreuses fleurs, témoignage de l’attachement que chacun porte à ses disparus.C’est aussi le jour du reccueillement à la mémoire de ceux qui sont morts pour la France.
triple mission
Le Souvenir français s’est donné une triple mission : conserver la mémoire de ceux qui sont morts pour la France ; veiller et participer à l’entretien de leurs tombes ; transmettre le devoir de mémoire aux générations successives. Cette année, en Aveyron, le Souvenir français a participé pécunièrement à un voyage scolaire de cent élèves de 3e.Ils ont visité le centre historique de la Résistance et de la Déportation de Lyon, la maison d’Izieu ainsi que les camps de Struthof et de Mathausen.
Chaque année, en partenariat avec d’autres associations d’anciens combattants, le Souvenir français rappelle dans de nombreuses écoles l’oeuvre des Résistants, leurs souffrances, leurs sacrifices et parfois leur déportation dans les camps d’extermination. Les tombres des carrés militaires sont régulièrement entretenues et les stèles éparses font l’objet d’une attention aussi soutenue que possible de la part du Souvenir français.
Afin de nous permettre de continuer nos missions, vous trouverez aux portes des cimetières de Millau des bénévoles pour recueillir votre participation, soyez généreux.»
Les commémorations
Ce lundi 1er novembre, dans le cadre de la Journée du souvenir, autorités civiles et militaires et anciens combattants se rassembleront à 11 heures au cimetière de l’Egalité avant d’aller à 11h15 devant le monument aux morts pour une cérémonie avec dépôt de gerbes. Jeudi 11 novembre, après un office religieux à l’église Notre-Dame à 9h30, un défilé partira de la place de la Capelle pour rejoindre le parc de la Victoire. A 11h15 se déroulera devant le monument aux morts la cérémonie commémorant l’armistice de 1918.
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