Edition du samedi 3 juillet
Politique
Bernard Seillier réélu président d’un Syndicat mixte... qui a retiré sa candidature à la gestion de l’aire de Brocuéjouls au profit du Département.
Paix armée autour de l'A75
La partie que jouent Jean Puech et Bernard Seillier sur l’échiquier politique aveyronnais depuis les dernières élections cantonales a marqué comme une pause, hier après-midi à la CCI de Millau, à l’occasion de l’élection du président du syndicat mixte A75 (SM). Même si cette pause n’est rien d’autre qu’une paix armée où chaque partie semble avoir fait une concession à l’autre. Bernard Seillier, seul candidat déclaré, a été élu pour un 5e mandat à la tête du SM ; et, sur sa proposition, le SM a retiré sa candidature à la gestion de l’aire de Brocuéjouls, laissant, pour l’heure, seul en piste le conseil général de l’Aveyron (qui s’est déclaré candidat lundi).
Ouverte à 15 heures dans une ambiance très tendue et en l’absence de Jean Puech, la séance a démarré par une très longue introduction du sénateur Seillier ; introduction qui semble avoir désamorcé les velléités des uns et des autres.
Rappelant, comme il l’a fait mardi (La Dépêche du 30/6) la philosophie de consensus maximal qui anime le SM depuis sa création, le sénateur Seillier est rapidement venu au dossier de l’aire de Brocuéjouls. « En décembre, et pas sur ma proposition, le SM a délibéré pour être candidat. Le conseil général a fait le même acte, créant une situation inédite dont la solution est pour moi très claire. Il n’est pas possible que des éléments du SM puissent, ailleurs, prendre une autre position et se trouver en conflit avec le SM. Le SM ne peut que s’effacer ; c’est toute sa philosophie depuis l’origine car il ne peut pas s’imposer dans une définition stratégique différente du conseil général ou du conseil régional (ses deux financeurs, ndlr). Le SM est là pour exécuter de manière cohérente la volonté commune », expose le sénateur.
Pas de vote à bulletin secret
S’ensuit un très long débat (lire encadré) au terme duquel le premier point de l’ordre du jour est enfin abordé : l’élection du bureau. Bernard Seillier demande qui est candidat, à part lui, à la présidence. Un flottement se produit, les regards se cherchent ou se fuient. Personne. M. Seillier propose alors la composition d’un et d’un seul bureau. Au moment de passer au vote, René Quatrefages, comme à contre-courant sur un autre scénario, demande un vote à bulletin secret. Nouveau flottement. « Vu l’état d’esprit général, on peut peut-être approuver comme ça...», glisse Jean-Luc Gayraud. « Oui, on simplifie », renchérit Bernard Seillier, qui avait de toute façon imprimé trois types de bulletins en supputant sur les candidatures de trois conseillers généraux. Le bureau est donc élu à l’unanimité sans abstention et sans qu’aucune main ne se soit levée pour ou contre...
satisfactions et inquiétudes
Dans la foulée et alors que la tension s’est enfin relâchée, Bernard Seillier, réélu, ne demande pas à l’assemblée de se prononcer sur le maintien ou pas de sa délibération de décembre 2003 mais, au contraire, annonce qu’il « propose de suspendre la candidature du SM » à la gestion de l’aire de Brocuéjouls. Proposition bien évidemment adoptée à l’unanimité.
Dans ce nouvel épisode de la guéguerre Puech-Seillier, chacun se retrouve avec des satisfactions mais aussi des inquiétudes. Bernard Seillier est réélu président du Syndicat mixte, mais il perd l’opportunité de gérer un jour la prestigieuse aire du viaduc et reste sous la menace de Jean Puech qui peut lui couper les crédits du SM et/ou lui opposer l’association de préfiguration dont il confirmait jeudi le souhait.
De son côté Jean Puech – ou en l’occurrence l’un de ses lieutenants – s’évite de devoir présider un SM hétérogène où le consensus est, d’évidence, la règle; et il se retrouve seul candidat déclaré pour la gestion de la fameuse aire. Pour l’heure. Car par un effet collatéral du dossier du pays Quercy-Rouergue, la Région, présidée par Martin Malvy, pourrait bien se porter elle aussi candidate.
Philippe Rioux
Infographie : Les activités du Syndicat mixte
Infrastructures
Le Département investit 5M€.
Travaux de fourmis sur la D29
Le président du conseil général, Jean Puech, a visité, ce jeudi, l’important chantier départemental commencé le 15 avril sur la D29 et prévu pour s’achever le 30 novembre. Celui-ci consiste à créer une voie nouvelle de 3,2 km entre le hameau de la Glène et l’échangeur de la Gamasse sur l’A75. Cette route longe l’actuel tracé de la D29 qui sera déclassée dans le patrimoine des communes de Verrières, Saint-Léons et Aguessac. Le carrefour entre la D29 et la D911 (route Millau-La Primaube) sera modifié : la D29 nouvelle formule devenant prioritaire sur la D911, ce qui ne manquera pas de faire grincer des dents certains Millavois mais réjouira les visiteurs de Micropolis qui mettront 5 minutes entre l’A75 et la cité des insectes. Ernest Durand, directeur des routes au Département, a également indiqué qu’un autre carrefour sera créé à proximité de l’échangeur. À ce niveau Jean-Claude Gineste verrait bien une aire d’information sur le Lévezou.
M. Puech a ensuite confirmé que la D29 serait refaite entre l’échangeur et Aguessac sur 5,225 km avec des travaux débutant en novembre 2004 pour s’achever en juin 2005. Des travaux express, aucune DUPn’étant nécessaire et les acquisitions foncières ayant été négociées à l’amiable. La D29 sera à l’arrivée prioritaire face à la N9 qui, elle, deviendra route départementale. Ce raccordement réaménagé était très attendu par l’entreprise Sévigné qui a un projet de création d’usine de préfabrication de béton (4M€ d’investissement).
Les deux chantiers de la D29, caractérisés par un souci aigu de préservation de l’environnement, coûtent 5M€ au Département.
Ph. R.
Aménagement
Visite de Nicolas Jacquet,DATAR
900 000€ pour Capelle-Guibert
En accueillant, hier midi en mairie après une visite du viaduc, Nicolas Jacquet, délégué à l’Aménagement du territoire et à l’action régionale (DATAR), Jacques Godfrain entendait balayer les inquiétudes sur l’engagement de l’État, effectifs selon lui depuis la présidence Giscard d’Estaing. Surtout, le député-maire et candidat UMPmalheureux au conseil régional Midi-Pyrénées, a vigoureusement plaidé pour un nouveau type de contrats de plan Etat-Régions incluant un partenariat financier public-privé. « Ici, avec le viaduc, on est précurseur. »
M. Jacquet a ensuite expliqué combien le viaduc correspondait parfaitement à la « procédure des grands chantiers que pilote la DATAR » ; procédure qui prend en compte le développement économique autour du projet. Concernant celui-ci justement, M. Jacquet a rendu publique une lettre du Directeur des Routes à la préfète de l’Aveyron. Dans cette missive datée du 1er juillet, l’État valide l’éligibilité du futur parking souterrain de 450 places de Capelle-Guibert (centre d’interprétation) à une subvention de 900000 € issue des fonds versés par Eiffage au titre de l’article 30 du contrat de concession (exploitation touristique du viaduc). « C’est une excellente nouvelle ; c’était la clé du projet », se réjouissait Jean-Luc Gayraud.
Le dernier paragraphe de la lettre précise toutefois les modalités, eu égard au code des marchés publics : « Compte tenu des incertitudes concernant le montage de l’opération, il est souhaitable d’éviter que la subvention soit versée directement de la Cie Eiffage à une autre filiale du groupe. Il convient donc de retenir le principe qu’elle sera attribuée à la Ville de Millau ou à l’autorité publique maître d’ouvrage de l’opération. » Omniparc – filiale d’Eiffage qui a racheté à Vinci la concession du parc Emma-Calvé – pourrait, en effet, être in fine le constructeur-gestionnaire du futur parking et donc bénéficier des 900000 € provenant à l’origine de sa maison mère Eiffage...
Ph. R.
Sport.
Au SOM Rugby Aveyron.
Les mouvements de l’intersaison 2004-2005
L’assemblée générale 2003 - 2004 du SOMillau Rugby Aveyron qui s’est tenue jeudi soir au Créa*, a été l'occasion de jeter un premier regard sur la prochaine saison avec les traditionnels mouvements de l'intersaison. Pas moins de quatre joueurs mettent un terme à leur carrière : José Da Silva, Paul Puech, Frédéric Gommard et Jean-François Wadelle.
Les départs. Arnaud Racine à Narbonne, Romain Mathou à Gaillac, Christophe Saint Martin à Gruissan, Xavier Pesteil à Vendres, Musti Gungor en Allemagne, Laurent Caussinus à Mazamet. Les arrivées. Benoit Toigo(¾ centre du Lyonnais), Aurélien Bonhoure(1/2 de mêlée de Bourg en Bresse), Romain Cousinie (2e ligne de Cagnac les Mines), David Gay (2e ligne de Villemur), Michel Maille(Arrière de Périgueux), Julien Faure( polyvalent des lignes arrières de Montauban), Yvon Bonnard(3e ligne de Villefranche sur Saone), Aurelien Clicourt (1° ligne de Villefranche sur Saone et Damien Canizares (pilier de Beziers). A cet ensemble d'arrivées de joueurs, il conviendra de noter le retour de Hugo Baillet (3e ligne) et les montés en sénior de Kévin Pérez(1/2 de mêlée), Fabien Bounniol(1/2 d'ouverture), Silvain Loirette(1° ligne) et Yohan Iragne (3e ligne).
Dominique Bouteiller
* Nous aborderons l’assemblé générale dans notre prochaine édition.
ET AUSSI
Télécom.
Saint-Georges-de-Luzençon s'impatiente
L'ADSL à vitesse réduite
En vueGuy Brun
Concepteur du nouveau chemin de découverte de Micropolis
Bernard Seillier réélu président d’un Syndicat mixte... qui a retiré sa candidature à la gestion de l’aire de Brocuéjouls au profit du Département.
Paix armée autour de l'A75
La partie que jouent Jean Puech et Bernard Seillier sur l’échiquier politique aveyronnais depuis les dernières élections cantonales a marqué comme une pause, hier après-midi à la CCI de Millau, à l’occasion de l’élection du président du syndicat mixte A75 (SM). Même si cette pause n’est rien d’autre qu’une paix armée où chaque partie semble avoir fait une concession à l’autre. Bernard Seillier, seul candidat déclaré, a été élu pour un 5e mandat à la tête du SM ; et, sur sa proposition, le SM a retiré sa candidature à la gestion de l’aire de Brocuéjouls, laissant, pour l’heure, seul en piste le conseil général de l’Aveyron (qui s’est déclaré candidat lundi).
Ouverte à 15 heures dans une ambiance très tendue et en l’absence de Jean Puech, la séance a démarré par une très longue introduction du sénateur Seillier ; introduction qui semble avoir désamorcé les velléités des uns et des autres.
Rappelant, comme il l’a fait mardi (La Dépêche du 30/6) la philosophie de consensus maximal qui anime le SM depuis sa création, le sénateur Seillier est rapidement venu au dossier de l’aire de Brocuéjouls. « En décembre, et pas sur ma proposition, le SM a délibéré pour être candidat. Le conseil général a fait le même acte, créant une situation inédite dont la solution est pour moi très claire. Il n’est pas possible que des éléments du SM puissent, ailleurs, prendre une autre position et se trouver en conflit avec le SM. Le SM ne peut que s’effacer ; c’est toute sa philosophie depuis l’origine car il ne peut pas s’imposer dans une définition stratégique différente du conseil général ou du conseil régional (ses deux financeurs, ndlr). Le SM est là pour exécuter de manière cohérente la volonté commune », expose le sénateur.
Pas de vote à bulletin secret
S’ensuit un très long débat (lire encadré) au terme duquel le premier point de l’ordre du jour est enfin abordé : l’élection du bureau. Bernard Seillier demande qui est candidat, à part lui, à la présidence. Un flottement se produit, les regards se cherchent ou se fuient. Personne. M. Seillier propose alors la composition d’un et d’un seul bureau. Au moment de passer au vote, René Quatrefages, comme à contre-courant sur un autre scénario, demande un vote à bulletin secret. Nouveau flottement. « Vu l’état d’esprit général, on peut peut-être approuver comme ça...», glisse Jean-Luc Gayraud. « Oui, on simplifie », renchérit Bernard Seillier, qui avait de toute façon imprimé trois types de bulletins en supputant sur les candidatures de trois conseillers généraux. Le bureau est donc élu à l’unanimité sans abstention et sans qu’aucune main ne se soit levée pour ou contre...
satisfactions et inquiétudes
Dans la foulée et alors que la tension s’est enfin relâchée, Bernard Seillier, réélu, ne demande pas à l’assemblée de se prononcer sur le maintien ou pas de sa délibération de décembre 2003 mais, au contraire, annonce qu’il « propose de suspendre la candidature du SM » à la gestion de l’aire de Brocuéjouls. Proposition bien évidemment adoptée à l’unanimité.
Dans ce nouvel épisode de la guéguerre Puech-Seillier, chacun se retrouve avec des satisfactions mais aussi des inquiétudes. Bernard Seillier est réélu président du Syndicat mixte, mais il perd l’opportunité de gérer un jour la prestigieuse aire du viaduc et reste sous la menace de Jean Puech qui peut lui couper les crédits du SM et/ou lui opposer l’association de préfiguration dont il confirmait jeudi le souhait.
De son côté Jean Puech – ou en l’occurrence l’un de ses lieutenants – s’évite de devoir présider un SM hétérogène où le consensus est, d’évidence, la règle; et il se retrouve seul candidat déclaré pour la gestion de la fameuse aire. Pour l’heure. Car par un effet collatéral du dossier du pays Quercy-Rouergue, la Région, présidée par Martin Malvy, pourrait bien se porter elle aussi candidate.
Philippe Rioux
Infographie : Les activités du Syndicat mixte
Les aires en débat
Avant de souhaiter une «cohabitation» entre Département et SM (l’un ayant les aires de Sévérac et Larzac, l’autre celle de Brocuéjouls) Pierre-Marie Blanquet a dénoncé la concentration sur les aires d’activités de la Cavalerie et de Sévérac (pourtant décidées par le Département) qui ont, selon lui, échoué à irriguer l’Aveyron. Et de plaider pour qu’à chaque échangeur, des entreprises puissent s’installer. Une idée vite démentie par Jérôme Rouve. Très consensuel, le président de la CCI - qui distingue les aires de travail et de repos - a souhaité qu’on ne «perde pas l’avance prise il y a 15 ans» par tous les acteurs. «Nous avons des demandes d’entreprises belges, du Nord et du Sud de laFrance et même de l’Aveyron. Il faut leur offrir des terrains à La Cavalerie ou à Sévérac sinon ils iront en Lozère ou au Caylar !» Jacques Godfrain suggère, en dépit d’éventuels problèmes juridiques soulevés par le sénateur Seillier que l’aire de Brocuéjouls propose aux visiteurs des produits du terroir en dégustation-vente. Puis le député-maire annonce qu’une discussion a lieu entre Millau et Eiffage pour la mise en place d’une tarification préférentielle destinée à «ceux qui fréquentent assidûment le péage.» M. Godfrain souhaite qu’une démarche similaire soit entamée par le Département pour favoriser l’installation d’entreprises.
Infrastructures
Le Département investit 5M€.
Travaux de fourmis sur la D29
Le président du conseil général, Jean Puech, a visité, ce jeudi, l’important chantier départemental commencé le 15 avril sur la D29 et prévu pour s’achever le 30 novembre. Celui-ci consiste à créer une voie nouvelle de 3,2 km entre le hameau de la Glène et l’échangeur de la Gamasse sur l’A75. Cette route longe l’actuel tracé de la D29 qui sera déclassée dans le patrimoine des communes de Verrières, Saint-Léons et Aguessac. Le carrefour entre la D29 et la D911 (route Millau-La Primaube) sera modifié : la D29 nouvelle formule devenant prioritaire sur la D911, ce qui ne manquera pas de faire grincer des dents certains Millavois mais réjouira les visiteurs de Micropolis qui mettront 5 minutes entre l’A75 et la cité des insectes. Ernest Durand, directeur des routes au Département, a également indiqué qu’un autre carrefour sera créé à proximité de l’échangeur. À ce niveau Jean-Claude Gineste verrait bien une aire d’information sur le Lévezou.
M. Puech a ensuite confirmé que la D29 serait refaite entre l’échangeur et Aguessac sur 5,225 km avec des travaux débutant en novembre 2004 pour s’achever en juin 2005. Des travaux express, aucune DUPn’étant nécessaire et les acquisitions foncières ayant été négociées à l’amiable. La D29 sera à l’arrivée prioritaire face à la N9 qui, elle, deviendra route départementale. Ce raccordement réaménagé était très attendu par l’entreprise Sévigné qui a un projet de création d’usine de préfabrication de béton (4M€ d’investissement).
Les deux chantiers de la D29, caractérisés par un souci aigu de préservation de l’environnement, coûtent 5M€ au Département.
Ph. R.
Aménagement
Visite de Nicolas Jacquet,DATAR
900 000€ pour Capelle-Guibert
En accueillant, hier midi en mairie après une visite du viaduc, Nicolas Jacquet, délégué à l’Aménagement du territoire et à l’action régionale (DATAR), Jacques Godfrain entendait balayer les inquiétudes sur l’engagement de l’État, effectifs selon lui depuis la présidence Giscard d’Estaing. Surtout, le député-maire et candidat UMPmalheureux au conseil régional Midi-Pyrénées, a vigoureusement plaidé pour un nouveau type de contrats de plan Etat-Régions incluant un partenariat financier public-privé. « Ici, avec le viaduc, on est précurseur. »
M. Jacquet a ensuite expliqué combien le viaduc correspondait parfaitement à la « procédure des grands chantiers que pilote la DATAR » ; procédure qui prend en compte le développement économique autour du projet. Concernant celui-ci justement, M. Jacquet a rendu publique une lettre du Directeur des Routes à la préfète de l’Aveyron. Dans cette missive datée du 1er juillet, l’État valide l’éligibilité du futur parking souterrain de 450 places de Capelle-Guibert (centre d’interprétation) à une subvention de 900000 € issue des fonds versés par Eiffage au titre de l’article 30 du contrat de concession (exploitation touristique du viaduc). « C’est une excellente nouvelle ; c’était la clé du projet », se réjouissait Jean-Luc Gayraud.
Le dernier paragraphe de la lettre précise toutefois les modalités, eu égard au code des marchés publics : « Compte tenu des incertitudes concernant le montage de l’opération, il est souhaitable d’éviter que la subvention soit versée directement de la Cie Eiffage à une autre filiale du groupe. Il convient donc de retenir le principe qu’elle sera attribuée à la Ville de Millau ou à l’autorité publique maître d’ouvrage de l’opération. » Omniparc – filiale d’Eiffage qui a racheté à Vinci la concession du parc Emma-Calvé – pourrait, en effet, être in fine le constructeur-gestionnaire du futur parking et donc bénéficier des 900000 € provenant à l’origine de sa maison mère Eiffage...
Ph. R.
Sport.
Au SOM Rugby Aveyron.
Les mouvements de l’intersaison 2004-2005
L’assemblée générale 2003 - 2004 du SOMillau Rugby Aveyron qui s’est tenue jeudi soir au Créa*, a été l'occasion de jeter un premier regard sur la prochaine saison avec les traditionnels mouvements de l'intersaison. Pas moins de quatre joueurs mettent un terme à leur carrière : José Da Silva, Paul Puech, Frédéric Gommard et Jean-François Wadelle.
Les départs. Arnaud Racine à Narbonne, Romain Mathou à Gaillac, Christophe Saint Martin à Gruissan, Xavier Pesteil à Vendres, Musti Gungor en Allemagne, Laurent Caussinus à Mazamet. Les arrivées. Benoit Toigo(¾ centre du Lyonnais), Aurélien Bonhoure(1/2 de mêlée de Bourg en Bresse), Romain Cousinie (2e ligne de Cagnac les Mines), David Gay (2e ligne de Villemur), Michel Maille(Arrière de Périgueux), Julien Faure( polyvalent des lignes arrières de Montauban), Yvon Bonnard(3e ligne de Villefranche sur Saone), Aurelien Clicourt (1° ligne de Villefranche sur Saone et Damien Canizares (pilier de Beziers). A cet ensemble d'arrivées de joueurs, il conviendra de noter le retour de Hugo Baillet (3e ligne) et les montés en sénior de Kévin Pérez(1/2 de mêlée), Fabien Bounniol(1/2 d'ouverture), Silvain Loirette(1° ligne) et Yohan Iragne (3e ligne).
Dominique Bouteiller
* Nous aborderons l’assemblé générale dans notre prochaine édition.
ET AUSSI
Télécom.
Saint-Georges-de-Luzençon s'impatiente
L'ADSL à vitesse réduite
En vueGuy Brun
Concepteur du nouveau chemin de découverte de Micropolis
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